vendredi 26 octobre 2007

No puede escaparse de la Muerte

[Ouais c'est plus pour la rigolade que pour la technique ou la créativité. Prendre ça avec humour.]

mercredi 3 octobre 2007

Sick Sad Little World

L'avenir est une réalité effrayante, probablement celle qui nous effraye le plus. L'inconnu nous a toujours fait peur; par nature. La seule chose dont on peut être certains c'est que la mort viendra tous nous chercher. Cette salope vêtue de noir nous emmenera tous avec elle, pour ce qui s'avèrera être le commencement, car notre existence n'est qu'une rupture dans cet infini néant. Comme à dit Beigbeder: "Avant le Big-Bang il n'y avait rien, après l'explosion du soleil il n'y aura plus rien."
En sachant ceci, pourquoi continuer de faire ce que nous faisons tous les jours ? Etudier, travailler, avoir des amis, aimer, fonder une famille, faire un tas de projets... Puisqu'au bout du compte Elle viendra nous prendre. On ne sait pas quand, ni où, et encore moins dans quelles circonstances. Mais qu'est ce qu'on en a à branler ?! On crèvera tous. (J'adore les discours apocalyptique d'un jeune dépressif).
Biensûr les plus optimistes d'entre vous diront que l'on fait tout ceci pour atteindre un idéal, pour rendre plus agréables nos existences merdiques, et au final aussi éphémères que celle d'un moustique. Mais aussi que si l'on réfléchit ainsi, on peut aussi bien arrêter de vivre maintenant. Mais justement, putain de crétins, idiots ! Prendre la décision de mettre fin à ses jours est la plus grande des libertés, la plus aboutie. Car vous êtes tous prisonniers de votre destin, vous laissez le temps agir sur vous. Prenez le dessus ! Ou vous vous efforcerez de rendre votre vie plus facile en attendant la libération. Agissez ! Putain de merde, crevez, tirez-vous une balle ! (Ca c'est pour toi: Crève, crève, crève !)

Je comprend maintenant ces gens qui s'autodétruisent. Tout d'abord ils font en sorte qu'on se souvienne d'eux, puis se détruisent à petit feu. Première page des journaux, idôles de tous,...
Des mecs comme Jimi Hendrix, Kurt Cobain, John Bonham, Pete Doherty, Sid Vicious, et un tas d'autres; parce que la Célébrité ça tue ! (Rires)

Mais il faut être fort, ou trop "faible" pour oser mettre fin à ses jours; atteindre un point de non-retour. Il y a trois cas: Les idiots ! qui pensent avoir touché le font, avoir vécu un trop gros chagrin d'amour, et un tas d'autres conneries. Ce sont les pires. Ensuite il ya ceux que le talent a mené à la célébrité, s'élevant alors bien au-dessus du reste, et enfin les gens les plus intelligents, pas assez cons pour croire au bonheur ou à un bel avenir.




Quoi-qu'il en soit, écrire des textes sans aucun sens, sans aucun but, comme celui-ci, me fait plaisir, me fait bien rire.

Bisous.

mardi 2 octobre 2007

Hot Kiss




[Du dessin, de nouveau du dessin ! Ca faisait lgtemps !]

Ps: Ne prêtez pas attention au caprices du scanner, on fait avec ce qu'on a. Merci Aurélien !

dimanche 30 septembre 2007

Unsociable


Elle n'était déjà pas bien prêt, mais j'ai maintenant l'impression qu'elle s'éloigne.
Il se peut qu'elle ne les lise même plus. C'est dur.
J'ai besoin qu'elle les lise, qu'elle les apprécie, et me dise qu'elle les a les aimé, qu'ils l'ont touchés, ne serait-ce qu'un peu.
Il y en a un autre, il y en a peut-être même des dizaines d'autres, et moi je suis toujours devant cette écran, chaque soir. Et j'attend. C'est trop long, bien trop long.

Mets y fin, dit moi que tout ceci ne sert à rien, que je perd mon temps et te fait perdre le tien. Ce serait tellement plus simple; pour moi.

Elle me paraît plus inaccessible au fil des heures passées à écrire, et avec ça je suis plus fasciné au fil du temps. N'importe qu'elle fille à qui j'écrirais ces textes, aussi mauvais soient-ils, chercherait à en savoir plus sur moi, sur ce qui me motive, sur mes intentions,... Mais pas elle, et c'est ce qui la rend si attractive. Et pourtant j'aimerais qu'elle arrête d'agir ainsi. Que dois-je faire ? Me pointer devant chez elle avec ma guitare et chanter sous sa fenêtre des chansons d'amour plus idiotes les unes que les autres ? La harceler par téléphone ?
Les hommes disent souvent que le langage féminin est difficile à décoder, "Eh bien les gars, vous n'avez encore rien vu si vous n'avez pas tenté d'établir le 'contact' avec Elle."

Elle ne m'a encore jamais dit ce qu'elle pensait, pourquoi n'est-elle pas claire ? "Parle moi, méprise moi, insulte moi. Epargne moi, parce que rester dans l'ignorance est pour moi infiniment plus dur; Insupportable. Tu es insupportable."

Je vais m'arrêter ici pour ce soir. Je lui ai déjà tout dit, j'en ai même trop dit. Je me répète.

Passe une bonne nuit Mademoiselle...

mercredi 26 septembre 2007

Dirty Shine

Vous pensez vraiment que l'idée d'écrire m'est venue comme ça, ainsi que ce style très pessimiste et sarcastique. Tout Faux, je ne suis qu'un ignoble copieur !
Voilà d'où je tire tout ça: http://cestpasmafaute.cowblog.fr

Merci pour tout Poulpy !

Candyflesh!

Qu'elle aille crever ! Qu'elles aillent toutes crever ! Et moi qui me jette à ses pieds, lui crier tout ce que je ressens. "Abrutis ! Réfléchis un peu, merde !"
Aujourd'hui c'est la journée de remise en question. Un DST d'histoire baclé, un rendez-vous chez l'ortho, toujours pas de permis, toujours au lycée, et encore jamais rien fait de spécial de cette putain de vie. Le discours du dépressif.
Je ne le suis pas, mais comme d'habitude j'amplifie tout. Je ne vais pas très bien en ce moment, c'est dommage. C'est la dernière année que je passe ici, et je passe mon temps à me lamenter. "Réagis bordel !". J'ai envie de reprendre pas mal de choses à zéro, il faut que je change de style, de façon d'être aussi. Fini d'être gentil avec (presque) tout le monde. Rien à foutre de toutes vos histoires, arrêtez de me raconter vos merdes ! Rien à branler !
Qu'elle aille se faire foutre ! J'y ai attaché beaucoup trop d'importance !
Ca fait du bien de pousser un bon coup de gueule de temps en temps, je le ferais sûrement plus souvent.

Passons au positif. Demain à lieu le concert d'Incubus, concert tant attendu. Toute ma rage et ma haine vont passer dans ce concert, la semaine prochaine je promet d'être de bonne humeur, pas très sociable, mais de bonne humeur.



http://myspace.com/candyfleshband Du bon rock 'n roll bien destroy avec une touche de grunge, et une femme hyper sexy (c'est le plus important).

mardi 25 septembre 2007

A Punch Up at A Wedding


J'ai dix-huit ans, et j'ai toujours l'impression d'en avoir quatorze, c'est dur.
Je fais une histoire de tout, j'exagère en permanence. J'crois que j'avais perdu l'habitude de me retrouver dans des situations telles que celle-ci, ce début d'année est insupportable. Une seule chose ne va pas comme je le souhaites et j'en fais tout un plat, je sens comme un parfum de stupidité.
Prendre conscience de nous même est ce qui nous différencie des animaux, la conscience de soi fait de nous des Hommes. Nous sommes foncièrement stupides, mais le fait d'avoir conscience de notre stupidité nous différencie des individus lourds d'une grande stupidité, nous devenons tout à coup des personnes dotées d'intelligence !




J'abandonne. Les précisions ne sont pas un importantes. ON.S'EN.BRANLE.
Elle m'avait prévenu, les gens ont tendance à s'accrocher bien trop vite à elle, sans pour autant la connaître. N'ayant aucune volonté, aucun contrôle sur mes désirs, on peut considérer que je suis quelqu'un de faible. Un homme basique en somme. C'est assez difficile de se rendre compte qu'on ne vaut pas beaucoup mieux que les personnes que l'on a l'habitude de critiquer. Je tombe de haut. Devenir fort n'est qu'un idéal que l'on se fixe, une espèce d'utopie à la con, parce qu'on est tous faibles. On cède tous à l'influence de nos désirs, et on en veut plus, toujours plus. On ne s'arrête jamais.
Elle me parle, je suis content mais j'en veux encore plus, elle aime ce que j'écris, je suis content mais j'en veux encore plus, elle veut bien me connaître, biensûr que je suis content, mais j'en veux encore plus !
J'ai dû m'attaquer à un trop gros 'poisson'. J'ai jamais eu beaucoup de succès, juste assez pour être heureux pendant quelques temps, un peu comme tout le monde. Aujourd'hui je suis tout seul, et je la veux. "Ah t'aimerais que les choses soient aussi faciles... Ce n'est pas comme ça que ça marche !" Biensûr que j'aimerais que ce soit aussi simple que pour certains. Tu claques des doigts et une dizaine de filles se traînent à tes pieds, se battant pour savoir quelle sera la première à te les lécher, te lécher le cul, ou te sucer le vit. Certains ne se donnent même pas la peine de claquer des doigts. "Une petite gâterie ?". J'appelle ça 'avoir du potentiel' (rires). J'espère que les choses changeront, sinon je préviens toutes les générations de mecs comme moi: "Les gars, ne rêvez pas, les femelles courent seulement vers les mecs les plus cons, et les plus beaux, deux choses que vous devrez toujours considérer comme des défauts. Biensûr il arrivera que vous tombiez sur une fille plus intelligente, assez pour s'intéresser à un garçon s'élevant un tout petit peu plus haut que la moyenne, vous serez contents un an durant, deux tout au plus, et vous retournerez bien sagement à la place qu'est la votre. Vous deviendrez plus faibles que jamais, et tenterez d'atteindre des buts inatteignables. Ne vous inquiétez pas, les choses changeront, et viendra un temps où vous serez au-dessus de tout ça. Elle viendra alors vous manger dans la main. J'espère."

J'ai fait tout ce qui m'était possible de faire, malheureusement je n'ai pas grand chose à offrir. Quelques textes idiots, quelques dessins, quelques baisers, et au fil du temps une indifférence grandissante. C'est comme ça que j'ai tout gâché. Un autre conseil: "Si quelqu'un t'aime un jour, petit, fait ton possible pour garder cette personne à tes côtés, ou tu finiras tout seul à un moment où à un autre."
Le calvaire à débuté au début de l'été, un été qui s'annonçait pourtant très prometteur.
Plus personne à aimer, ou par qui être aimé, aucun projet, aucune ambition, aucun but.
"Si tu n'as pas de but à te fixer, autant crever." Je ne servais strictement à rien. Plus agressif que jamais, plus malade que jamais. J'ai pris cinquante ans en un mois. Je déambulais dans ma chambre, j'expulsais mon ennuie, et ma haine du moment présent en même temps que mes entrailles. Il faut bien mourir de quelquechose, alors pourquoi pas de la cigarette. Tu aspires doucement ce qui est censé chasser ton anxieté, mais tu expires quelques minutes de vie en même temps que la fumée qui emplissait tes poumons quelques secondes auparavant. Il faut bien mourir de quelquechoses... Pourquoi pas la cigarette ?! Deux mois sans lycée; Il fallait bien que je trouve une chose qui me pourrirais au moins autant la santé.

Elle passe à la trappe, et sera sûrement remplacé par quelquechose d'aussi dangereux. Mon moral, ma santé mentale, mon égo, en ont pris un sacré coup.
L'une des expériences les plus addictives de ma vie, mais aussi l'une des plus dangereuse, des plus destructrices. Une vraie drogue.


[Aurevoir. J'espère que tu seras là lorsque je triompherais de tous ses idiots incapables de me voir comme quelqu'un d'exceptionnel. (Oui je suis prétentieux, et vantard, mais j'aime ça. L'un des plus beaux aspects de l'Homme.)]

mercredi 8 août 2007

Royally fucked





[Il y a quelques temps je me suis mis à écrire, un peu contre ma volonté, j'étais poussé dans mes derniers retranchements. Biensûr on n'écrit jamais à n'importe qui, que ce soit à un ensemble ou à une unique personne, il y a toujours une raison.
On écrit mieux lorsque l'on dévoile ce qu'on a à l'intérieur, quelquechose vous perturbe, vous dérange, quelqu'un vous hante ? Ecrivez. C'est tout simplement la meilleure façon d'exorciser.
Mais comme pour une drogue, il y a un risque. La dépendance. Ce qui vous perturbait devient alors une obsession, vous y pensez tout le temps, les choses ne se déroulent pas comme vous le désirez, l'écriture vous à permis de ne pas garder ça en vous mais se lancer là dedans vous a amené à une situation bien pire encore. Mais biensûr je n'écris pas ici pour vous faire la leçon.]


Je ne sais plus quoi lui écrire, et je n'ai plus aucune échappatoire, je ne contrôle absolument plus rien. Ni mes sentiments, ni la situation dans laquelle je me suis mis. C'est un peu exagérer de parler en ces termes pour une histoire de fille, mais à mon âge on a tendance à tout dramatiser, mais je ne m'inquiètes pas, je changerais en grandissant. J'espère.

J'aimerais qu'elle fasse un pas, rien qu'un, dans ma direction, juste histoire de me sentir important, même un bref instant. "Viens me parler, merde !" Elle ne me doit rien, mais j'ai besoin d'en avoir un peu plus. Chaque jour c'est la même rengaine, je la vois et j'attend juste qu'elle ouvre cette satanée fenêtre, et ne m'adresse qu'un simple bonjour, une fois de temps en temps. Faire semblant de vouloir savoir comment je vais. "Continue de jouer la comédie, mais change de rôle." Ma santé mentale en dépend.
Je me plaind mais je ne prend pas les devants pour autant, et je reste à l'abris derrière ce fichu écran d'ordinateur. C'est bien plus facile, on évite les mauvais regards, ou l'absence de regards tout simplement, l'indifférence est plus facile à vivre derrière un écran.
Et je continue d'écrire des conneries, je n'ai rien d'autre à faire de mes soirées, et tout ça c'est de sa faute. "Tu fais chier !".
Ces temps-ci, j'ai l'impression d'être un vrai masochiste, je souffre (un peu) et j'en redemande.
Je m'enferme dans le rôle de l'amoureux transit vivant un de ces putain de chagrins d'amour, dans la pièce: "J'aime ça, alors surtout ne t'arrête pas !". Alors biensûr pour bien m'imprégner du personnage j'écoute des chansons débiles, un air de piano, et une voix de femme hyper sexy, je suis moins sociable au lycée, et j'enchaîne cigarette sur cigarette. Je vais mourir d'une tuberculose, la maladie des amoureux d'après Baudelaire, si ce n'est d'un bon petit cancer des poumons. Et je graverais sur mon torse: "J****** m'a tué."




"Aimer une femme intelligente est un plaisir de péderaste." {Oscar Wilde}


Bisous... (Non ce n'est pas pour vous, c'est pour elle !) Pix by Me